Votre Centre et l'E.F.S signent une exposition engagée
Votre centre est fier de poursuivre son partenariat avec l’Etablissement français du sang et de s’engager sur l’importance du don de sang, de plasma et de plaquette en mettant en place des actions de sensibilisation.
L’exposition photographique digitale IN Fusion dévoile une série de 20 portraits photographiques réalisés par Antoine Vincens de Tapol.
Ces clichés authentiques mettent en lumière les visages des chauffeurs, laborantins, médecins, animateurs de collecte et personnels administratifs de l’E.F.S, acteurs indispensables mais souvent invisibles de la chaîne transfusionnelle.
Pris sur le terrain, loin des studios, ces portraits révèlent leur quotidien et leur engagement à travers des détails saisissants : blouses, gestes précis, regards attentifs et témoignages émouvants.
À travers cette exposition, IN Fusion rend hommage à ces femmes et ces hommes qui, par leur travail, assurent la jonction vitale entre donneurs et patients, incarnant ainsi la mission essentielle de l’E.F.S. Leur dévouement, souvent méconnu, s’impose ici dans toute sa profondeur et son humanité
Découvrez leurs visages et leurs témoignages.
Pour soutenir ces efforts et donner, rendez-vous sur le site officiel de l’E.F.S pour prendre rendez-vous près de chez vous : Cartographie des collectes | Etablissement francais du sang
Gwendoline, technicienne en laboratoire.
« La transfusion c’était un de mes rêves. Alors quand j’ai signé mon premier contrat fixe à l’EFS, je me suis fait tatouer une fiole avec une étoile. Histoire de marquer le coup »
Alexandre, contrôleur de gestion sociale, DRH.
« On a l’impression de faire partie de ce tout ».
Amel, médecin biologiste
« La poche de sang c’est un peu la face cachée de l’origine de l’humanité. Tu ne peux pas mentir avec ça ».
Elodie, chauffeur-installatrice, agent d’accueil
« Au retour, avec le camion chargé de sang, mes virages sont encore les plus doux ».
Jose Fernando, expert en délivrance.
« C’était il y a 30 ans. J’étais de garde, on avait une patiente, une petite fille, Juliette. Elle était très malade. Et quand je voyais son tube de sang arriver, je faisais encore plus attention. Je choisissais la meilleure plaquette, même si on choisit toujours la meilleure plaquette.
En laboratoire, on ne connait pas les visages des patients. Je ne connaissais pas le visage de Juliette.
Un soir, malgré la relève, je tenais tout de même à rester et soudain débarque une petite fille qui s’approche, me baise la main et part en courant.
Je décide de la suivre et tombe sur deux infirmières qui cherchaient l’enfant. C’était Juliette qui s’était échappée.
Elle avait réussi à me retrouver. C’est une histoire que je ne raconte pas souvent car il y a là une sorte de magie, une récompense de la vie qui vous marque pour toujours ».
Laurence, médecin responsable des centres de soins.
« Il y a 25 ans, on nous a dit qu’il y aurait une alternative à la transfusion. Aujourd’hui, il n’y a pas beaucoup mieux que le globule rouge et les chercheurs n’ont pas fini d’y passer leurs longues soirées d’hiver tant le sang est complexe ».
Nassim, technicien polyvalent, services techniques.
« On est le support de l’EFS, les sauveteurs des sauveteurs. Dès qu’ils ont un souci, ils nous contactent et nous on trouve une solution ».
Eric, médecin biologiste.
“Il y a ce livre de Maylis de Kerangal Réparer les vivants, au titre qui me parle tant. Une histoire de don d’organe. Parce que les vivants c’est nous. Parce que la réparation ce sont les cellules, les organes. Parce que c’est ce lien à la vie ».
Laure, technicienne polyvalente de laboratoire.
« On est les pool. Je ne sais pas pourquoi on dit ça. Peut-être parce qu’on est des mini héros qui dépannons les copains. Des sortes de gardes fous ».
Jorge, agent d’accueil, relation donneurs.
« En plus de leur don, ce qui me marque le plus c’est cette tendresse, celle des donneurs… ».
Céline, technicienne polyvalente de laboratoire.
« Du bout de la chaîne transfusionnelle, je me sens utile. On est relié au patient, on connait son nom, on le soigne sans être tout à fait avec lui ».
Marjorie, ingénieure qualité, service qualité et vigilance.
« La qualité on en fait tout le temps sans s’en rendre compte : les procédures, c’est comme une recette de cuisine ; quand on en a une, on est sûr de réussir.
Et une fois le gâteau goûté, s’il manque du sucre, on améliore la recette.
La qualité c’est pareil ! ».
Manon, biologiste, responsable de laboratoire.
« J’ai toujours voulu être dans la santé. Ma fascination pour le sang est venue plus tard par un tuteur qui m’a transmis sa passion mais aussi car sa couleur m’a toujours attirée ».
Solenne, chargée de promotion du don.
« Vous avez l’impression sur une collecte que tout le monde est infirmier car ils ont tous une blouse blanche, alors qu’il y a tant de métiers, tant de possibilités ».
Laurent, technicien de laboratoire d’immuno- hématologie moléculaire.
« J’ai une certaine fascination pour le monde du tout petit. D’autant plus que l’on n’observe pas l’ADN… on le déchiffre ».
Marie Hélène, médecin de collecte.
« J’ai 77 ans et en tant que médecin, je continue d’apprendre tous les jours ».
Natacha, technicienne de laboratoire de nuit.
« Travailler la nuit, c’est plus stressant mais c’est mon espace. Entre deux urgences le calme revient et le silence ne laisse apparaître que le bruit des congélateurs et des portes qui claquent au loin ».
Naima, chargée de recrutement, DRH.
« Si on ne recrute pas, il manque un maillon de la chaîne essentiel à la transfusion »
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